Comme le chante si bien Gilles Vigneault : Mon pays ce n’est pas un pays, c’est l’hiver ! Et là, on est à bout !
Le printemps sait se faire désirer et, de jour de pluie en jour de pluie, on traverse les mois en attendant impatiemment de pouvoir décapoter les convertibles ! Oh ! Qu’il semble loin le temps où l’on pourra avaler des kilomètres de bitume et égrainer le temps sur le dos des routes ensoleillées ! Mais en attendant, mieux vaut adapter notre conduite aux conditions pluvieuses et apprendre à composer avec les intempéries! Parce qu’on ne peut rien y faire.
Pluie et glace ; même combat. C’est sans doute la première leçon à retenir. Les deux conditions jouent sur la #visibilité et viennent affecter l’adhérence des pneus sur la chaussée et donc, au final, elles peuvent mener au#dérapage et aboutir en tragique accident. Voilà, c’est dit.
Maintenant, pour éviter l’évitable, il faut mettre en pratique la règle des trois D :Décélération, Distance et Discernement. Si on roule moins vite, on augmente notre temps de réaction et si on laisse l’équivalent de deux voitures entre nous et celle de devant, on diminue les risques d’accrochages. Somme toute, c’est basique. Et si l’on ajoute à cela un peu de jugeote (se rappeler d’allumer les phares, contourner les flaques d’eau et éviter les dépassements inutiles), on est en affaire !
Et si jamais, malgré tout, votre bagnole devait faire un ti-tour d’aquaplanage, vaut mieux savoir comment réagir ! Dans un premier temps, il faut respirer un grand coup, garder la tête froide et lâcher l’accélérateur ! Surtout, surtout, ne pas freiner! Finalement, et puisque théoriquement vous avez toujours les mains sur le volant (et on l’espère), il ne reste qu’à le tourner dans la direction voulu.
C’est bien beau tout ça, mais ce n’est malheureusement pas magique. N’oubliez pas que tout faire dans les règles de l’art n’est pas une police d’assurance contre les accidents, il faut rester alerte et conduire prudemment.
Albi le Géant vous souhaite bonne route !